Faire un infarctus est un choc. En faire un deuxième l’est encore plus. Eveline, patiente active et engagée, raconte avec émotion son expérience d’une récidive d’infarctus, survenue quatre ans après sa première crise cardiaque. Malgré une hygiène de vie irréprochable, l’infarctus est revenu, lui rappelant que la maladie cardiovasculaire est chronique. Dans cet article, elle partage ses symptômes, ses émotions et ses conseils pour réagir vite et garder espoir.
• Comment Eveline a reconnu les signes d’une récidive d’infarctus
• Pourquoi une rechute peut survenir malgré une hygiène de vie irréprochable
• Le choc émotionnel d’un second épisode cardiaque
• Ce qu’est la collatéralisation et pourquoi l’activité physique reste essentielle
• Les conseils concrets pour réagir efficacement face à une récidive
• Comment Eveline a transformé sa peur en force pour rester actrice de sa santé
• Ce qu’il faut retenir pour vivre avec la maladie sans renoncer à la vie
• Comment les outils numériques comme Noctua Care peuvent-ils vous aider ?
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Eveline a vécu deux infarctus, une opération à cœur ouvert et une réadaptation exigeante. Aujourd’hui, elle partage avec courage et générosité chaque étape de son parcours : les symptômes invisibles, le choc du diagnostic, la rééducation, les rechutes… et surtout, l’après.
À travers ses mots, découvrez qu’il est possible de reprendre sa vie en main après un infarctus. Un témoignage précieux, humain, inspirant — pour tous ceux qui traversent ou accompagnent cette épreuve.
« J’allais bien. Je faisais du sport trois fois par semaine, je mangeais équilibré, je surveillais les acides gras saturés sur les étiquettes. Et pourtant… Un samedi matin, à la gym, j’ai senti une douleur. Pas la même que la première fois. Moins forte, plus diffuse. La troisième fois que je l’ai sentie, j’ai su. J’ai quitté la salle, pris ma voiture, et foncé aux urgences. C’était un pontage qui s’était bouché. Heureusement, j’ai réagi vite. On m’a posé trois stents actifs. »
La récidive peut survenir même chez les patients les plus vigilants. Comme le rappelle la Haute Autorité de Santé, l’athérosclérose est une maladie chronique évolutive. Elle peut rester silencieuse, puis se réveiller sans prévenir. C’est pourquoi il est crucial d’être à l’écoute des signes, même légers, et de ne jamais minimiser une douleur inhabituelle.
➡️ Détecter un infarctus du myocarde - les symptômes
« J’ai été assommée. Je m’étais donnée à fond : sport, alimentation, traitements. Et ça revient ? À quoi bon ? Je me suis dit : “Tous ces efforts, pour ça ?” Moralement, j’ai pris une énorme claque. Pourtant, physiquement, c’était moins dur que la première fois. Pas d’opération, juste les stents. Mais dans la tête, c’était violent. »
La rechute après un infarctus entraîne souvent une chute du moral. Ce sentiment d'injustice et de découragement est courant. Il est essentiel de ne pas rester seul avec ces émotions. En parler à un professionnel de santé mentale ou rejoindre un groupe de soutien peut aider à traverser cette nouvelle épreuve.
➡️ Séquelles possibles après un infarctus du myocarde : comprendre pour mieux récupérer
« Mon cardiologue m’a montré les clichés de 2018 et ceux de 2022. Une petite artère bouchée à 95 %, qu’ils n’avaient pas pu traiter, était entourée d’un réseau de petites veines secondaires, apparu entre-temps. Il m’a dit : ‘C’est l’activité physique qui a fait ça. Un jour, ce réseau peut vous sauver la vie.’ Là, j’ai compris que mes efforts n’étaient pas vains. »
Ce phénomène s’appelle la collatéralisation : le corps développe des circuits secondaires pour irriguer le cœur. L’activité physique régulière, même modérée, favorise ce processus protecteur. C’est une raison supplémentaire de ne pas baisser les bras.
➡️ Éviter un infarctus : les clés de la prévention cardiovasculaire
« D’abord, il faut réagir vite. Même si la douleur est différente, si vous avez un doute, appelez le 15. Ensuite, il faut accepter que la maladie est là. On vit avec. Moi, j’ai ma trinitrine toujours sur moi. Et je continue le sport, tous les jours. J’ai aussi revu mon psy, pour encaisser le coup. »
Face à une récidive, la rapidité de réaction est essentielle. Appeler le 15 dès l’apparition de symptômes peut faire la différence. Avoir une ordonnance de trinitrine sous la main est recommandé pour les patients à risque. Et ne pas hésiter à consulter un psychologue : la peur d’une nouvelle crise est légitime.
➡️ Le traitement médicamenteux après un infarctus du myocarde
« Je lâche rien. J’ai conscience que ça peut revenir, mais je sais quoi faire. Je suis vigilante, mais je vis. J’ai transformé ma peur en moteur. Je fais du sport tous les jours. Et je suis suivie régulièrement. Je ne veux pas vivre dans l’angoisse, mais dans l’action. »
Malgré les risques, Eveline a choisi de rester actrice de sa santé. Elle incarne un message d’espoir : même après une récidive, il est possible de vivre pleinement, à condition d’être bien entouré et bien informé.
⚠️ Une récidive d’infarctus peut survenir malgré une bonne hygiène de vie.
⚠️ Les symptômes peuvent être différents du premier infarctus : mieux vaut consulter au moindre doute.
🩺 Le moral est souvent mis à rude épreuve, mais le soutien psychologique aide à surmonter le choc.
🩺 L’activité physique reste un pilier incontournable, même après une récidive.
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Source – Cet article s’appuie sur le témoignage d’Éveline, patiente ayant survécu à un infarctus du myocarde et à une chirurgie cardiaque lourde.
Pour découvrir son histoire complète en vidéo, cliquez ici.
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