Quand tout semble aller bien, il est facile d’oublier que notre santé cardiovasculaire mérite notre attention. Eveline, 53 ans au moment des faits, était en forme, avait perdu du poids, venait d’avoir une promotion, et pourtant… un infarctus est venu bouleverser sa vie. Son témoignage révèle à quel point il est crucial de prendre au sérieux certains signaux, même quand on se croit à l’abri.
• Comment Eveline a vécu les mois précédant son infarctus
• Les signaux discrets et souvent ignorés chez les femmes
• Pourquoi le déni peut retarder la prise en charge
• Le rôle des antécédents familiaux et du stress chronique
• Hypertension, surpoids : des facteurs de risque à surveiller
• Ce que dit la science sur les infarctus en apparente bonne santé
• Les conseils clés d’Eveline pour éviter que cela n’arrive à d’autres
• Comment les outils numériques comme Noctua Care peuvent-ils vous aider ?
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Eveline a vécu deux infarctus, une opération à cœur ouvert et une réadaptation exigeante. Aujourd’hui, elle partage avec courage et générosité chaque étape de son parcours : les symptômes invisibles, le choc du diagnostic, la rééducation, les rechutes… et surtout, l’après.
À travers ses mots, découvrez qu’il est possible de reprendre sa vie en main après un infarctus. Un témoignage précieux, humain, inspirant — pour tous ceux qui traversent ou accompagnent cette épreuve.
C’était en janvier 2018. Je venais de commencer un régime, j’avais déjà perdu 13 kilos, je me sentais bien. Vraiment bien. J’avais eu une belle promotion, ma fille venait d’avoir un bébé. J’étais sur un nuage.
Je n’avais pas de douleur, pas d’alerte particulière. Rien qui m’aurait fait penser au cœur. Je ne faisais pas de sport, c’est vrai, mais je ne me sentais pas en danger. Tous les voyants étaient au vert.
Oui. J’ai toujours eu un problème de poids. Depuis l’enfance. En primaire déjà, un médecin scolaire m’avait dit « elle pèse trop ». Cette phrase m’a suivie toute ma vie.
J’ai fait le yo-yo pendant des années : je perdais 10 kilos, j’en reprenais 15. Et puis j’étais quelqu’un d’angoissée, de stressée, un peu impulsive aussi. Je montais vite dans les tours.
Il y avait aussi l’hérédité : mon père a fait un infarctus à 48 ans. Mon grand-père est décédé du sien à 53. Mais pour moi, c’était une maladie d’homme. Je ne me sentais pas concernée.
➡️ Détecter un infarctus du myocarde - les symptômes
Non. Je prenais un comprimé tous les matins, prescrit par mon généraliste, mais je n’avais jamais vu de cardiologue. Le jour de mon infarctus, les médecins m’ont demandé : « Qui vous suit pour votre tension ? » J’ai répondu : « Personne ».
Je pensais que ce n’était pas si grave. Que ça allait comme ça. Mais en réalité, cela faisait 20 ans que je vivais avec un facteur de risque silencieux.
🩺 Selon les recommandations de la Haute Autorité de Santé, un suivi cardiologique est fortement recommandé en cas d’hypertension persistante (≥ 140/90 mmHg)
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Complètement. Je n’avais jamais fumé, je mangeais plutôt équilibré. Je ne me voyais pas comme une « patiente à risque ».
C’est ça, le déni. On pense que ça n’arrive qu’aux autres. Surtout aux hommes. On oublie les antécédents, le stress, la tension. On se sent invincible… jusqu’au jour où tout bascule.
➡️ Quels sont les signes d’un infarctus silencieux ?
Je lui dirais : n’attendez pas d’avoir mal pour consulter. N’attendez pas l’accident. Si vous avez des antécédents familiaux, du surpoids, de l’hypertension, du stress… parlez-en. Faites un bilan. Voyez un cardiologue.
Moi, je ne l’ai pas fait. Et ça a failli me coûter la vie.
➡️ Éviter un infarctus : les clés de la prévention cardiovasculaire
Les études sont formelles : l’infarctus peut survenir même chez des personnes apparemment en bonne santé. Les facteurs de risque comme le stress chronique, l’hypertension artérielle, l’obésité abdominale et les antécédents familiaux doivent alerter.
Chez les femmes, le risque est souvent sous-estimé, car les symptômes sont moins typiques et les diagnostics tardifs.
➡️ L’infarctus chez la Femme - Reconnaître les signes atypiques pour agir rapidement
⚠️ Un infarctus peut frapper même si vous vous sentez « en forme ».
🧬 Les antécédents familiaux, le stress et l’hypertension sont des signaux d’alerte à ne pas ignorer.
🩺 Un suivi cardiologique est essentiel dès les premiers facteurs de risque.
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Source – Cet article s’appuie sur le témoignage d’Éveline, patiente ayant survécu à un infarctus du myocarde et à une chirurgie cardiaque lourde.
Pour découvrir son histoire complète en vidéo, cliquez ici.
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