Tout pour comprondre votre coeur et agir face aux facteurs de risque cardiovasculaire. Ce glossaire explique simplement les mots utilisés par les cardiologues : infarctus, réadaptation, prévention, traitements...
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Inflammation de l’enveloppe du cœur ; douleur thoracique soulagée assis, parfois fièvre. Repose sur anti-inflammatoires et repos.
Intervalle électrique prolongé sur l’ECG prédisposant à torsades de pointes et mort subite. Surveiller médicaments et électrolytes.
Alertes envoyées par appli, SMS ou boîtier lumineux pour ne pas oublier un traitement. Ils améliorent l’adhérence et réduisent les hospitalisations évitables. Les horaires peuvent être personnalisés suivant la routine du patient.
Exercices doux avec bandes élastiques ou petits haltères pour tonifier bras et jambes. Deux séances par semaine suffisent à améliorer la force sans surcharger le cœur. On évite de bloquer la respiration lors des efforts.
Montée en charge par paliers : commencer par 10 min de marche, ajouter 5 min chaque semaine jusqu’à 30 min quotidiennes. Cette méthode limite la fatigue et le risque de blessure. Le cardiofréquencemètre aide à rester dans la zone d’effort recommandée.
Stimulateur spécial envoyant un signal coordonné dans les deux ventricules lorsqu’ils ne battent pas en même temps. Il améliore le débit cardiaque et réduit les symptômes d’insuffisance cardiaque sévère. Les bénéfices se mesurent après 3 à 6 mois.
Retour possible 6 à 12 semaines après l’évènement, selon la sévérité et la nature du poste. Une visite de reprise avec le médecin du travail adapte les horaires et les tâches. Un temps partiel thérapeutique facilite la transition.
Reprise des activités quotidiennes (courses, loisirs, sorties) après validation médicale. Le patient avance étape par étape : d’abord la marche, puis le sport léger et enfin les trajets plus longs. Écouter son corps et respecter les pauses garantit un retour durable.
Probabilité d’avoir un nouvel infarctus après le premier événement. Elle baisse fortement en suivant le traitement, en arrêtant le tabac et en faisant de l’exercice. Des contrôles réguliers détectent tôt tout signe de récidive.
Probabilité d’avoir un accident vasculaire cérébral dans les années à venir. Elle augmente avec l’hypertension, l’âge, le tabac, la fibrillation auriculaire et le diabète. Corriger ces facteurs et prendre ses traitements réduit cette probabilité.
Programme supervisé de 3 mois en général, débuté après un infarctus, une chirurgie ou une angioplastie. Il combine exercices surveillés, éducation nutritionnelle et soutien psychologique pour retrouver confiance et capacité d’effort. Participer réduit de 20-30 % le risque de nouveau problème cardiaque.
Protéine sur cœur et artères activée par adrénaline ; bloquée par bêtabloquants pour diminuer fréquence et tension.
Diète axée sur fruits, légumes, produits laitiers écrémés et peu de sel, conçue pour faire baisser la tension artérielle. Elle apporte beaucoup de potassium, calcium et magnésium, minéraux protecteurs. Les résultats apparaissent en deux à quatre semaines.
Alimentation pauvre en graisses saturées (beurre, charcuterie) et riche en fibres, légumes, poissons gras et huile d’olive. Elle fait baisser le LDL et parfois monter le HDL. Couplée aux statines, elle réduit le nombre de plaques.
Cuisine traditionnelle des pays du sud de l’Europe : huile d’olive, poissons, légumes, légumineuses, noix, peu de viande rouge. Il réduit l’inflammation et le risque d’infarctus de près de 30 %. Facile à suivre grâce à des recettes variées et savoureuses.
Objectif : moins de 6 g de sel par jour (une cuillère à café). Il aide à contrôler la tension et l’œdème chez l’insuffisant cardiaque. Lire les étiquettes et cuisiner maison sont les meilleurs atouts pour y parvenir.
Capacité des artères coronaires à augmenter leur débit face à l’effort. Une réserve basse traduit un risque d’ischémie.
Ensemble d’objets, d’applications et de plateformes qui collectent et partagent vos données de santé en temps réel. Elles facilitent le suivi des constantes et la communication avec les soignants. Plus de réactivité, moins de déplacements inutiles.
Après un infarctus du myocarde, la santé connectée regroupe tous les outils numériques (applications, objets connectés, télésuivi) qui accompagnent le patient dans sa récupération et sa prévention des récidives. Elle permet un suivi plus régulier, plus personnalisé et plus rassurant, en complément du parcours médical classique.
Pourcentage d’hémoglobine chargée en oxygène mesuré au doigt. Doit rester ≥ 95 % chez le sujet sain au repos.
Le scanner coronaire (ou coroscanner) est un examen d’imagerie qui utilise les rayons X pour visualiser les artères coronaires, c’est-à-dire les vaisseaux qui alimentent le cœur en sang. Il permet de détecter la présence de plaques de cholestérol (athérome), de mesurer le calcium coronarien ou de rechercher un rétrécissement (sténose) responsable d’angine de poitrine ou d’infarctus.
Imagerie fonctionnelle où l’on injecte un traceur faiblement radioactif capté par l’organe étudié. La caméra détecte la distribution du produit, révélant zones mal irriguées ou tumœurs. L’exposition est faible et contrôlée.
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